Visitez Nos Entreprises en Pays de Loire (VNE) : les conditions d’adhésion et missions

Les stratégies marketing et de communication ne cessent d’évoluer avec les innovations technologiques. Pourtant, il existe un moyen à l’ancienne pour faire connaître une entreprise et attirer le maximum de clients. La visite d’entreprise est un vieux procédé qui commence à intégrer l’univers numérique. En effet, des associations organisent maintenant les visites via Internet, à travers des adresses numériques. Mais quel genre d’association est-ce et quelles sont leurs missions ? Ensuite, comment doit-on procéder pour y adhérer ? Les réponses.

La visite d’entreprise : association

Le tourisme de découverte économique est la réalisation d’une visite organisée au sein d’une entreprise. Le principe est le même que pour les visites de musées ou d’autres monuments, sauf que dans ce cas, l’objectif n’est pas seulement culturel, mais plutôt commercial. Le but est d’accueillir le touriste dans les locaux pour lui présenter partiellement ou en totalité le processus de production par l’intermédiaire d’un guide. La plupart du temps, la visite se termine par une vente de produits. C’est un moyen de se faire connaître et de fidéliser la clientèle. C’est le 23 août 2001 que l’association Visitez Nos Entreprises en Pays de la Loire voit le jour. Dans la région, les petites, les moyennes et les plus grandes entreprises de domaines diverses se sont regroupées afin de faciliter l’organisation et la structuration des visites en leur sein. Actuellement, cette association rassemble plus de 81 adhérents, dont deux d’entre eux sont des membres de droit et 16 sont des partenaires associés.

V.N.E. en pays de la Loire : missions

L’association a pour mission principale d’accompagner les entreprises souhaitant ouvrir leurs portes au grand public à travers des visites. Ce sont alors les membres actifs qui se chargent de cibler et de contacter les prospects pour les inviter à une visite guidée. Ils sont aussi chargés du bon déroulement de l’événement, notamment pour le choix de la date, le nombre de visiteurs et leur sécurité, le parcours à suivre, les horaires et les tarifs.

Ensuite, l’association optimise les échanges en vue de créer un réseau de coopération dans le partage des expériences de chacun des membres. Il s’agit aussi de mettre en valeur les activités des entreprises de la région de la Loire pour montrer les métiers aux jeunes, qui peuvent devenir les futurs employés ou bien potentiellement les entrepreneurs de demain.

En dehors de la promotion des activités de la région, l’association agit également pour faire valoir la diversité du savoir-faire sur l’ensemble du territoire. C’est un autre moyen d’attirer et de convaincre les investisseurs. Les entreprises hôtes peuvent alors bénéficier des avantages en matière de visibilité et de réputation grâce à la stratégie numérique mise en place par l’association.

L’adhésion

Toutes les entreprises dans la région des Pays de la Loire sont les bienvenues au sein de l’association. L’adhésion est cependant payante et la somme varie en fonction du nombre d’employés. La cotisation annuelle est de 200 € si le nombre d’employés est inférieur à 50. Ce chiffre peut atteindre 1000 € pour les grandes entreprises de plus de 500 salariés. Une somme supplémentaire est demandée pour ceux qui souhaitent une assistance dans la création du circuit de visite. L’inscription peut se faire en remplissant un formulaire digital sur le site officiel, il y en a deux types : le premier est destiné aux entreprises qui souhaitent intégrer l’équipe, tandis que le second concerne les organismes qui souhaitent travailler comme partenaires.

En somme, il est facile de devenir un membre actif et de profiter des avantages de l’association. Toutefois, une assurance doit être contractée par l’entreprise afin de lui permettre d’ouvrir ses portes au public. Notons que le document peut être contrôlé à tout moment par l’office du tourisme, car il constitue une garantie pour la sécurité des visiteurs.

Entreprise de nettoyage : pour aider les personnes atteintes du syndrome de Diogène

Le syndrome de « Diogène » est un trouble de comportement obsessionnel chez une personne qui a tendance à entasser d’une manière compulsive des objets inutiles dans sa maison. Il est souvent caractérisé par l’incurie et la syllogomanie.

C’est en effet, un comportement assez difficile à accepter, mais surtout à gérer pour les proches de la victime.

Ainsi, pour vous aider à y faire face, nous vous disons tout dans cet article.

En quoi consiste ce trouble ?

On désigne par syndrome de « Diogène », un trouble de comportement se caractérisant par une accumulation compulsive de toutes sortes d’objets en guise de collection. Il est souvent accompagné d’une négligence de l’entretien du logement, voire de l’hygiène personnelle.

On peut dire que cette pathologie est plus ou moins évolutive, car la victime commence au début par entasser tout et rien, et finir par négliger son environnement par une auto-négligence extrême.

Ce syndrome s’observe le plus souvent chez les personnes âgées de plus de 65 ans, qui ont accumulé divers objets sans arriver à les jeter, sur des années sans en prendre véritablement conscience.

Comment est caractérisé généralement un habitat victime de « Diogène » ?

On peut distinguer l’habitat d’une personne atteinte du syndrome de Diogène par les faits ci-après :

  • extrême saleté accompagnée d’une odeur fétide et nauséabonde à cause d’un manque d’hygiène environnementale
  • sols partiellement ou totalement recouverts par les objets accumulés
  • présence de toutes sortes d’objets : papiers, emballages, cartons, magazines, bouteilles, canettes, vêtements usagés, barquettes, bibelots, meubles inutilisables, etc.
  • déchets dans les moindres recoins, toiles d’araignées, poussières et moisissures d’une quantité importante
  • décomposition de nourriture dans diverses pièces (cuisine, salle à manger, salon, chambre à coucher, etc.)

Quels sont les dangers que peut générer cette accumulation compulsive au quotidien ?

  • accès d’urgence pouvant être bloqués en cas d’évacuation d’urgence
  • risques d’incendies élevés avec des objets accumulés qui sont particulièrement inflammables
  • augmentation des risques liés à la santé, par la présence d’éléments pathogènes
  • diminution, voire absence d’habitude hygiénique, à cause de l’incapacité de la victime à réaliser des tâches de base
  • isolement social à long terme

Comment venir en aide aux victimes de ce syndrome de Diogène ?

Avant toute chose, il est important d’établir une relation de confiance avec la victime, afin de l’amener à accepter facilement toute intervention.

En effet, pour mettre fin à ce trouble, il est parfois nécessaire d’hospitaliser la personne concernée afin qu’elle puisse bénéficier de la prise en charge nécessaire à la pathologie.

Par ailleurs, il est clair qu’à partir du moment où des éléments peuvent mettre en danger la victime ainsi que son entourage, il est conseillé d’avertir les services concernés (autorités médicales, voire judiciaires et administratives).

En outre, il est souvent recommandé de faire appel aux services d’une entreprise de nettoyage spécialisée, afin de remettre en état le logement de la victime. Cela par un service de nettoyage, de débarras, mais surtout de désinfection du lieu.

Quelles sont les étapes à suivre pour un nettoyage Diogène ?

Il est important de suivre les étapes ci-dessous pour la décontamination efficace d’un logement victime du syndrome de Diogène :

La phase de tri et le débarras des encombrants :

Il s’agit de la phase essentielle du nettoyage Diogène, qui consiste à identifier et à trier les effets de la victime. Ceci dit, garder et classer les documents importants (papiers administratifs, objets de valeur, etc.), et se débarrasser des effets qui ne servent plus à grand-chose (encombrants).

La remise en état du logement :

Ici, il est vivement conseillé d’utiliser des machines performantes, et qui soient parfaitement adaptées à un nettoyage profond de la maison, pour la remise en état des sols, des murs, ainsi que de toutes les autres surfaces. Ces machines devraient être de type : monobrosse, injecteur-extracteur, aspirateur à eau et à air.