La housse de coussin de canapé est un accessoire non négligeable dans la décoration intérieure. En plus d’apporter son lot d’esthétisme, elle représente un moyen simple pour mettre à jour votre pièce. La housse de coussin vous donne l’occasion d’ajouter des couleurs et des motifs à votre décor. Elle est comparable à des bijoux, car elle permet d’habiller une pièce. Découvrez dans ce contenu les étapes pour faire une housse de coussin de canapé. Continuer la lecture de Comment faire une housse de coussin de canapé ?
Catégorie : Artisanat
Taille des arbres : en boule ou en nuage ?
Les arbres représentent la plus belle et la plus gratifiante image que la nature nous offre. Ils nous sont essentiels à l’environnement puis, une terre sans arbre est comme un corps sans âme. En plus de rehausser l’aspect décoratif du jardin, il est tendance en ce moment de tailler les arbres d’une forme précise. Les formes d’arbres les plus courantes et les plus populaires sont les arbres en nuage et les arbres en boule.
Les arbres en nuage
Faire d’un arbre une décoration extérieure est une véritable partie de plaisir. La taille des arbres en nuage ou le « Niwaki » dans son nom d’origine japonaise, est un art traditionnel asiatique transmis de génération en génération.
L’arbre est coupé pour former une sorte de houppier et ainsi obtenir une succession de nuages en verdure.
La forme initiale de l’arbre est préservée, mais aussi entretenue pour obtenir la forme désirée.
Bien entendu, tous les arbres ne peuvent pas être taillés en nuage, surtout les arbres pleureurs et ceux ayant une structure rigide. En revanche ceux dont les branches sont déjà en mouvement tels que le houx, le buis, l’érable du Japon sont les plus appropriés pour cette taille.
Les arbres en nuage ne peuvent pas se faire du jour au lendemain. En effet, il faut de la préparation, de l’attention et de la patience. Pour obtenir la forme souhaitée, il faudra dans un premier temps, s’occuper de l’arbre minutieusement tous les jours, et le travailler soigneusement pour qu’il soit prêt à être sculpté. Il faut environ une quinzaine d’années pour qu’il soit disposé à être taillé.
Pour autant, grâce au progrès technologique et aux nouvelles méthodes de culture, il est possible d’avoir votre arbre en nuage en moins de temps que cela. Effectivement, il suffit de vous procurer un buis à croissance rapide, d’engager un bon élagueur et avec un coup de sécateur ici et là, le tour sera vite joué. Un dernier conseil, le temps idéal pour pratiquer votre coupe en nuage serait en automne.
Comment s’y prendre soi-même :
Pour réaliser la taille en nuage par vous-même, il vous faudra suivre 4 étapes :
- Supprimez les bois morts et les branches qui se croisent.
- Repérez les branches maîtresses qui porteront les nuages.
- Dégagez et supprimez tous les rameaux qui cachent la vue parfaite des nuages.
- Taillez l’extrémité des branches pour mettre la pression de la pousse des feuilles, surtout sur la partie haute.
Les arbres en boule
Les arbres en boule sont surtout apparus en occident dans les pays d’Europe. Cette méthode aussi appelée « art topiaire » apporte un air décoratif et esthétique au jardin.
Elle est présente depuis des siècles et actuellement, vous pouvez encore admirer des arbres en boule dans certains musées du Pays de La Loire. On pouvait aussi les distinguer sous plusieurs formes : parfois en formes géométriques, en animaux, voire des célébrités de ces époques. L’effet tape à l’œil y est pour beaucoup.
Les arbres pouvant être taillés en boule sont surtout le troène, le buis et l’acacia d’une hauteur de 6 à 8 mètres.
Pour ce faire, aucune préparation compliquée n’est nécessaire. La première idée est d’acheter des gabarits avec grillage pour sculpter facilement et sans difficulté. Il est aussi possible d’utiliser des kits en PVC ou encore plusieurs guides de la sorte.
D’ailleurs, le faire sans gabarit ou sans guide est aussi un choix. Il suffit de procéder de haut vers le bas en taillant de petites surfaces égales à la fois.
Cependant, si vous utilisez le gabarit, vous aurez déjà un modèle à suivre. De ce fait, il ne vous restera plus qu’à découper les feuilles et les rameaux qui dépassent.
La taille d’arbres en boule peut se faire en toute saison. Elle tend vers l’esthétique par rapport à l’arbre en nuage qui vire plus vers l’art. En plus, il s’agit surtout d’une question de goût personnel, car l’arbre en boules nécessite beaucoup d’entretien et est plus difficile à réaliser.
Symposium de sculptures 19 ème édition
Le symposium de sculptures est un programme culturel international qui se déroule tous les deux ans. Tourné vers l’art, ce programme en question est une occasion pour les artistes et sculpteurs de se retrouver pour confronter leur savoir. Pour le compte de sa nouvelle édition, cet événement a eu lieu dans le mois d’août 2021 plus précisément dans la petite cité ligérienne d’Oudon. Comme les anciennes éditions, celle de 2021 a été marquée par de nombreux événements palpitants et merveilleux. Focus.
Symposium de sculptures : un événement international
Initié depuis 2001, le symposium de sculptures est un événement biennal qui lance une invitation aux acteurs du monde artistique. Les acteurs en question peuvent être des artistes, des sculpteurs ou aux autres facilitateurs qui ont une expertise dans le domaine de l’art. Ainsi, au travers de ce symposium de sculptures, chaque artiste invitée devra réaliser sa plus belle œuvre et la laisser à l’appréciation des autres participants de l’événement. Une fois l’événement terminé, ces œuvres réalisées sont destinées à orner les lieux afin que des visiteurs puissent les admirer à leur juste valeur. Pour convier les artistes, le comité ne procède pas par simple invitation.
En réalité, il faudra lancer un appel à candidatures et laisser les personnes intéressées postuler à l’offre. Suite à un processus de sélection, un nombre spécifique de candidats sera convié à l’événement. Pour le compte de l’édition 2021, l’événement a eu lieu du 1er août au 15 août 2021. Le même processus de sélection a été utilisé pour retenir plusieurs artistes de différentes nationalités. À l’instar des autres éditions, celle de 2021 a aussi eu lieu sur le port d’Oudon qui est devenu le lieu emblématique de cet événement.
Symposium de sculptures 19ème édition : cinq artistes invités
Pour le compte de la 19ème édition, 161 candidats ont candidaté. Seulement 5 artistes réputés ont été sélectionnés. Il s’agit de la Franco-Britannique Eleanor Stride, du français Ferry Mathieu, de la Russe Natalia Christyakova, de l’ukrainien Vasyl Tatarskyy et de l’Israélienne Tanya Preminger. Tous reconnus pour leur talent et passion, ces 05 artistes ont une très bonne expérience sur les expositions, festivals et symposium de sculptures. Pendant les deux semaines (1er aout au 15 aout 2021), les 05 artistes se sont présentés sur le port d’Oudon pour travailler en public.
Essentiellement, ils ont utilisé leur savoir pour réaliser des créations sur le thème des quatre éléments. Ainsi, ils ont manié leurs outils afin de sculpter l’acier, la pierre et le bois. Dans la majorité des cas, les œuvres réalisées avaient des dimensions allant de 1,50 m à 2,60 m de hauteur. Au jour le jour, ces artistes ont travaillé leur sculptures de manière à les terminer dans le temps prévu pour le symposium. Pendant la sculptures, ces artistes laissaient leurs œuvres artistiques aux critiques et à l’appréciation du public.
Symposium de sculptures 19ème édition : déroulement de plusieurs ateliers artistiques
L’édition 2021 du symposium de sculptures n’a pas seulement été marquée par la prestation des artistes invités. Outre cela, l’événement a aussi organisé d’autres ateliers artistiques afin d’égayer les participants. Par exemple, au cours de la première semaine, il y a eu une exposition à la gare de la part de Catherine Lambourg. Spécialiste dans le domaine de la dalle de verre, cette artiste a présenté ses œuvres et fait des démonstrations techniques lors des week-ends. Toujours dans la première semaine, elle a animé des ateliers de 2h qui traitent de l’assemblage et la composition d’une pièce.
Pour le compte de la deuxième semaine, elle a fait une initiation de 04 jours sur la création complète d’un vitrail. Cette intervention de l’artiste Lambourg a vraiment été riche en connaissances. Excepté cela, pendant le symposium de sculptures 2021, il y a eu aussi le déroulement d’un atelier de modelage d’argile et de sculptures de tuffeau qui est animé par Mélanie Le Page (une artiste plasticienne de Nyoiseau). Outre cela, le symposium de sculptures a également présenté des animations musicales sur le port pendant les deux dimanches de l’événement.
Marbrerie funéraire : un art dédié à une bien triste commémoration
Lors du sombre évènement qu’est la perte d’un proche, les entreprises de pompes funèbres sont les premières à offrir leurs services pour s’occuper de l’organisation des obsèques du défunt. Mais, à part les actions qui se portent directement sur le corps de ce dernier, d’autres nécessités tournant autour de l’enterrement se font aussi sentir. Il en est ainsi des objets de décoration et la préparation des pierres tombales ou des monuments. C’est principalement sur ces derniers points là que la « marbrerie funéraire » tient un rôle important, surtout pour le sépulcre du défunt.
Qu’est-ce que la marbrerie funéraire ?
La marbrerie funéraire se consacre à la création et la pose des décorations pour les monuments funéraires. Ces derniers peuvent aller de diverses petites sculptures jusqu’à des grandes architectures comme celles d’un mausolée. On peut en citer en exemple le célèbre « Mausolée d’Halicarnasse » qui est la cinquième Merveille du monde. Les sépultures constituent l’élément le plus demandé en marbrerie funéraire. Celle-ci permet de mettre une surplus de valeur aux hommages et aux souvenirs du défunt tout en permettant de faire remarquer l’emplacement de la tombe dans le cimetière.
Qui travaille sur la marbrerie funéraire ?
Lorsqu’on parle de marbrerie le premier individu concerné par le métier est évidemment le marbrier. Son travail se base sur le commerce du marbre et sa transformation en objet d’art, selon les commandes du client. Pour le marbrier funéraire, il peut être proposé par l’entreprise de pompes funèbres qui offre au client son service mais il peut aussi très bien travailler en solo et proposer lui même ses offres à des particuliers. Tailler les marbres et les polir, effectuer des gravures sur la pierre tombale ou sur la stèle, font partie de ses travaux. En quelques mots, il peut s’occuper de la personnalisation de la dernière demeure du défunt et y faire figurer à jamais les grands hommages que lui ont rendu ceux qu’il a laissé.
Par ailleurs, l’artisan ne se limite pas seulement à la sculpture du marbre mais il peint aussi à la cire. Ce travail, qui se pratiquait déjà depuis l’Antiquité, se nomme « Peinture à l’encaustique ». Ainsi, l’encaustique est utilisé par le marbrier pour rajouter un décor luisant sur son œuvre et augmenter le brillant des surfaces qu’il travaille.
Comme la marbrerie ne se limite pas aux décorations funèbres, l’artisan peut aussi proposer un travail de sculpture en dehors des thèmes sombres de la mort. Nous avons par exemple le Marbres du Panthénon de Phidias et de ses assistants dans les musées du Royaume-Uni, l’Aphrodite de Milos de Alexandros d’Antioche au musée du Louvre, le David par Michelangelo à Florence.
Quels sont les plus belles œuvres de la marbrerie funéraire ?
Quand on parle de marbrerie funéraire, il est évident que le marbrier concerné se penche sur des ouvrages mortuaires. Donc, ses œuvres s’orientent pour les pierres tombales, les enfeus, les chapelles funéraires, les décorations funéraires, les cavurnes ou les colombariums.
Aux États-Unis, plus précisément au Desert Memorial Park, Cathedral City de Californie, se trouve un des plus beaux épitaphes que la musique ait connu, suite à l’inhumation de la figure emblématique « Frank Sinatra ». Cette stèle cite les paroles suivantes : « The Best Is Yet To Come », traduites par « Le meilleur est encore à venir ».
Nous avons aussi l’Égypte qui nous fait découvrir sa célèbre chapelle funéraire de Nakhmaton, dans la Vallée des Nobles, en nous faisant part des célèbres récits de Ramsès II, grâce aux incroyables hiéroglyphes scrutés sur les murs de la chapelle elle-même.
Et pour finir, on part à la découverte de l’Italie, notamment Rome, la ville ayant le plus de sites historiques dans presque toute l’Europe, avec son célèbre « colombarium de Pomponius Hylas », créé au premier siècle après Jésus Christ et découvert par Giampetro Campana en 1831.
La carafe en verre personnalisée : objet phare des amateurs de vin
La gravure est la technique la plus utilisée dans la personnalisation et la décoration des objets en verre, en bois, en métal ou en cristal. Elle est surtout utilisée par les grands amateurs de vin pour mettre en valeur leur marque sur leurs produits. Pour apprendre davantage sur cette technique de gravure sur verre, lisez ce qui suit !
Technique de gravure manuelle
Pour faire la gravure manuelle, il faut avoir à sa disposition les matériels adéquats comme : un ruban adhésif, 3 diamants différents, une porte diamant et une lime au carborandum (ou une boule au corindon).
La gravure demande un travail minutieux et nécessite un savoir-faire bien défini. Avant de vous lancer dans le travail, entraînez-vous sur des verres sans valeur importante. Selon le motif souhaité, prévoyez 1 ou 2 heures par verre. Installez-vous sur une table et recouvrez-la d’un tissu de couleur sombre. Mettez-vous sous une bonne lumière. Si vous voulez graver un motif simple sur votre carafe en verre, dessinez d’abord le gabarit au feutre noir, sur l’extérieur du verre. Puis, suivez les traces et gravez directement.
Pour la gravure d’un motif assez compliqué, suivez les étapes suivantes :
• Découpez le modèle ou le gabarit, placez le à l’intérieur de votre carafe et fixez-le à l’aide du ruban adhésif.
• Couvrez le verre d’un tissu sombre pour mieux presser le modèle contre la paroi ;
• Tracez les contours avec le diamant fin ;
• Décollez le gabarit et déplacez le tissu à l’intérieur du verre pour que les lignes gravées soient bien visibles ;
• Hachurez la surface intérieure des contours avec le diamant moyen. Dans cette partie, vous pouvez également utiliser la technique du pointillage. Pour ce faire, frappez le verre point par point pour rapprocher les lignes. Cette technique permet de blanchir la surface.
• En vous servant de la lime au carborandum, lissez toute la surface ainsi que les arêtes.
• Pour terminer, rincez ou essuyez le verre avec un mouchoir en papier.
Les motifs gravés sur le verre sont généralement le nom ou les prénoms des enfants ainsi que leur date de naissance ou de baptême. Certes, il est aussi possible de graver votre signature sur le verre.
Différentes options de traitement
Il existe plusieurs méthodes qui permettent d’obtenir des effets différents :
- l’utilisation d’une serviette en papier humide : elle permet d’obtenir une gravure claire et blanche. Elle permet également d’éviter la rugosité avancée dans la zone de gravure. Lorsque vous appliquez la serviette sur votre verre, veillez à ce qu’aucune bulle d’air ou de chevauchements ne se forme pas. Mais le plus important, désactivez l’Air Assist pour que le papier ne sèche pas prématurément lors de la gravure.
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- la gravure sans matériau auxiliaire : il s’agit de changer votre graphique de 100 % noir à environ 70 % de gris. Cela permet de réduire l’effet de la chaleur sur les grandes surfaces. Cette technique permet également d’optimiser le résultat final. Tout en conservant les mêmes paramètres lors de l’impression, sélectionnez le tramage « Ordered Dithering ».
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- l’emploi d’un ruban adhésif : le procédé est identique à l’utilisation de serviettes en papier humide. Cependant, la gravure n’est plus de couleur blanche éclatante mais plutôt grise. Lorsque la gravure est terminée, retirez les résidus puis nettoyez votre verre afin que ces derniers soient complètement enlevés.
Types d’accessoires utilisés dans la gravure
Il existe de nombreux appareils et d’accessoires que vous pouvez utiliser dans la gravure de votre carafe en verre tels que :
- L’appareil à fraise rotative : il s’agit d’un appareil à vitesse réglable. Selon le résultat voulu, il peut recevoir différents outils tels que les fraises de différentes tailles (en caoutchouc silicone gris et brun, à pierre verte carbure de silicium, en pierre blanche ou boule diamantée), les tampons de finition ou les boules de lissage. Il est surtout utilisé dans le travail de dépolissage sur des grandes surfaces et dans le traitement des verres dotés d’anses.
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- L’appareil à oscillations : ici, la gravure est effectuée par le principe de « va-et-vient ».
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- Le tourne cylindre : il est conçu pour traiter les verres avec des courbes.
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- La machine de gravure au CO2 : elle est utilisée pour graver aussi bien les pièces coniques ou rondes que les matériaux plats (miroir, verre, etc.).
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- Le mini-abrasif en silicone et en caoutchouc.
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- Le patron souple et le pochoir.
L’utilisation de ces appareillages est assez difficile. C’est pourquoi, vous devez confiez le travail à un spécialiste du verre signature.